L'homme, par la paix des champs va, les yeux sur le couchant vers sa femme et son enfant. Donne, donne, donne a mon âme, soir divin, ta sainte paix! Son salut, m'émeut soudain moi, le morne pélerin vers un nut toujours lointain. Donne, donne, donne a mon âme, soir divin, ta sainte paix! Marche, pauvre chemineau, songe au dernier soir si beau où tu trouves le repos. Donne, donne, donne a mon âme, soir divin, ta sainte paix!